Original article in English : http://www.indigenousaction.org/peaks-update-trial-for-two-peaks-defenders-tuesday-february-28-2012-support-needed/

Par Indigenous Action
26 février 2012

Traduction Christine Prat

 

Sujet: Comparution de Deux Défenseurs des Pics

Quand: Mardi 28 février 2012
8h30 et 13h15

Où: La Cour de Justice de Flagstaff
200 N. San Francisco Str.
Flagstaff, AZ 86001

 

FLAGSTAFF, Arizona – Mardi 28 février 2012, à la Cour de « Justice » de Flagstaff, deux

Défenseurs des Pics devront répondre de charges suite à des actions de protestation pour protéger les Pics San Francisco Sacrés de l’expansion du site de ski et de la fabrication de neige à partir d’eaux usées.

Les deux personnes, dont Rudy Preston, sont accusés de diverses infractions allant de l’effraction criminelle au trouble à l’ordre publique.

Les actions de protestation ont eu lieu les 8 et 13 août 2011.

Le 8 août 2011, neuf personnes ont entrepris une action directe pour bloquer les destructions en cours et la profanation des Pics. Ces neuf personnes ont directement affronté les actions écocides de la firme Arizona Snowbowl, en arrêtant l’abattage d’arbres quotidien et le creusement d’une tranchée pour la tuyauterie pendant huit heures. Les vice-sheriffs ont réagi en arrêtant immédiatement Rudy Preston, agent de liaison avec la police du groupe, qui assurait la sécurité des manifestants. Plus de 50 agents des forces de l’ordre ont utilisé des scies industrielles et des marteaux-piqueurs pour briser le barrage de force.

Samedi 13 août 2011, après un rassemblement de prières sur les Pics Sacrés San Franciso, Mary Sojourner, Rudy Preston et Klee Benally ont été arrêtés pour s’être opposés à la profanation et à l’écocide causé par la station de ski de la firme Arizona Snowbowl.

Pendant l’arrestation de Preston le 13 août, des témoins ont entendu la police lui signifier que la raison pour arrêter M. Preston était « d’avoir parlé ».

M. Preston déclare « assister à l’action directe de blocage le 8 août fut un évènement incroyable. J’étais sidéré de voir nos forces de police mobilisées en plus grand nombre que ce qu’on s’attendrait à voir pour un meurtrier en cavale. Nous serions vraiment de droit d’attendre une conduite plus correcte de la police dans des situations de désobéissance civile. »

« le 13 août est un jour que je n’oublierai jamais. J’ai perdu beaucoup d’illusions sur nos forces de l’ordre locales, ce jour-là. J’ai absolument le droit de m’exprimer contre les actions dangereuses et criminelles de la firme Arizona Snowbowl et du Service des Forêts US. Çà me pousse à me demander qui la police protège. En tout cas pas moi ni mon droit au Premier Amendement (Premier Amendement de la Constitution Américaine qui garantit le droit d’expression – NdT). » déclara M. Preston.

Près de 30 arrestations ont été effectuées au cours de manifestations depuis de la firme Snowbowl a commencé ses activités de profanation et d’écocide sur les Pics Sacrés, l’an dernier.

Beaucoup de ceux qui ont été arrêtés ont déjà accepté des arrangements résultant en travaux d’intérêt publique.

Les dates de comparution pour les autres personnes arrêtées le 7 août 2011, lors de la dispersion d’une manifestation pacifique par la police de Flagstaff, et pour Klee Benally qui a aussi été arrêté le 13 août ne sont pas encore fixées

La comparution de mardi s’ouvrira alors que le multimillionnaire de Scottsdale, Arizona et propriétaire de Snowbowl, Eric Borowski menace de reprendre les activités de profanation et de destruction sur les Pics Sacrés cette semaine. Près de la moitié des 23,8 km de tuyaux a déjà été construite et environs 30-40% de l’abattage de quelque 30000 arbres appartenant à un écosystème de flore alpine rare a déjà été effectué.

Récemment la Cour d’Appel du 9ème Circuit s’est prononcée contre la Coalition Sauvez les Pics dans une affaire entamée contre le Service des Forêts sur la base d’inquétudes pour l’environnement et la santé humaine. La Tribu Hopi doit encore aller en appel pour tenter d’empêcher la Ville de Flagstaff de vendre des eaux usées à la compagnie Snowbowl.

De plus la Ville de Flagstaff a jusqu’au 12 mars pour décider elle va une fois de plus tenir le public à l’écart de la décision de renouveler ou non le contrat entre Snowbowl et la ville pour la vente de 680 millions de litres d’eau d’égout recyclée pour faire de la neige sur les Pics.

 

Plus d’information :

English : www.truesnow.org et www.indigenousaction.org

Français : https://chrisp.lautre.net/wpblog/?cat=9

 

Vous pouvez faire des dons en ligne (pour les frais de justice) sur www.truesnow.org

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LE VOL DES DROITS SUR L’EAU PAR DES SENATEURS D’ARIZONA SERAIT UNE ‘CONDAMNATION A MORT’ POUR LES NAVAJOS

Par Diné CARE

Article original en Anglais

Publié par Brenda Norrell
17 février 2012

Traduction Christine Prat

Dilkon, Arizona – Les Citoyens Diné Contre la Ruine de Notre Environnement (Diné CARE – Citizens Against Ruining our Environment) ont condamné les nouveaux plans des sénateurs d’Arizona Jon Kyl et John McCain pour voler les droits sur l’eau des Navajos, en les qualifiant de condamnation à mort.

Diné CARE, une organisation Navajo, a dit « condamner énergiquement la grand groupe Salt River Project, la Centrale Navajo (c’est le nom donné à la centrale par les propriétaires, elle n’appartient pas aux Navajos – NdT) et le projet de loi Projet pour le Centre de l’Arizona, présenté comme devant fournier de l’eau aux Nations Navajo et Hopi pour améliorer leurs conditions de vie. »

« En réalité, c’est une condamnation à mort pour les Peuples Autochtones qui devraient renoncer pour toujours à leurs droits sur l’eau au profit du Bas Colorado » dit un communiqué de Diné CARE publié jeudi.

« Ils est important que les communautés indigènes s’unissent pour s’opposer à cette loi, » dit Adella Begaye, présidente de Diné CARE. « Nous ne pouvons pas nous permettre de rester passifs alors que nos générations futures sont dépouillées de leur héritage et de leur vie. »

D’après Diné CARE, la loi s’appliquera quand et si les tribus donnent leur accord pour prolonger les contrats et autres accords concernant la Centrale Navajo.

Le sénateur Jon Kyl, Républicain, a présenté l’accord mardi au Sénat Américain. Il a déclaré, « Ceci nous fait faire un pas de plus vers la solution des sérieux problèmes d’eau dans les régions appauvries des réserves Navajo et Hopi, tout en assurant la sécurité des communautés non-Indiennes qui essaient de planifier le futur de leur approvisionnement en eau. »

Pour Diné CARE, il faut en fait interpréter la déclaration de Kyl comme suit : « Le Sénateur Jon Kyl, juriste de Salt River Project dans les années 1970, continue à donner la priorité au SRP et au CAP pour s’emparer des droits sur l’eau au détriment de ses propriétaires Indigènes dans le nord de l’Arizona. »

« Ils ajoutent l’insulte aux torts causés : non seulement la Tribu Navajo à souffert d’avoir reçu pour son eau un prix bien inférieur au coût normal, mais elle souffre aussi des conséquences de la pollution émise par la Centrale Navajo, qui fournit de l’énergie pour le compte du SRP, s’assurant ainsi que la Nation Navajo livre de l’électricité bon marché. Un prix honnête dans cet arrangement est nécessaire pour pouvoir considérer que l’eau Navajo n’est pas volée et ne pas condamner les gens à une mauvaise santé causée par la pollution de la Centrale Navajo » ajoute Diné CARE.

« La Nation Navajo est déjà, en ce qui concerne l’énergie et l’eau, une colonie de Phoenix, Tucson, Las Vegas et le sud de la Californie.  Si le projet Kyl est adopté, signé et appliqué, plus de 14000 hectares par an seraient garantis à la Centrale Navajo pour prolonger le maintient en fonction de la centrale. Cela favoriserait aussi la compagnie charbonnière Peabody, étant donné que sa mine de Kayenta alimente la Centrale Navajo. »

Diné CARE a aussi fait remarquer que les droits sur l’eau extensifs des Amérindiens garantis par la Doctrine Winter cesseraient d’exister si les sénateurs d’Arizona étaient autorisés à entreprendre ce vol des droits sur l’eau des Indiens.

« Les droits sur l’eau selon la Doctrine Winter de la Nation Navajo et de la Tribu Hopi seraient terminés. »

« Diné CARE s’est opposé à la loi Kyl et McCain parce qu’elle n’épargne pas les Navajos et les Hopis. Au contraire, elle maintiendra l’ ‘état improvisé’ créé par Kyl et ses partenaires des grandes entreprises sur le Peuple Navajo. »

« En somme, la loi KYL doit être TUÉE avant qu’elle nous Tue » (en Anglais : the KYL bill must be KILLED before it KILLS us)

Article original en Anglais

Par Brenda Norrell,
27 janvier 2012

 

Traduction Christine Prat

TUCSON, Arizona – Louise Benally, une Navajo qui résiste toujours à la déportation de Big Mountain, sur le territoire de la Nation Navajo, a rejoint les étudiants protestant contre la suppression des études ethniques, pour s’exprimer contre le génocide culturel toujours en cours en Arizona. L. Benally a dit qu’aujourd’hui le racisme en Arizona se manifeste par l’interdiction des cours et des livres d’études Mexicano-Américaines, entre autres « Rethinking Columbus » (« Repenser C. Colomb »), écrit par des auteurs Amérindiens.

Pour L. Benally, ce même racisme qui infiltre le gouvernement de l’Arizona et les grandes compagnies profiteuses de cet état, devient une réalité tangible sous la forme de centrales électriques au charbon touchant les territoires Indiens en Arizona, précisément la compagnie minière Peabody Coal sur Black Mesa et la centrale au charbon Navajo (c’est le nom qui lui a été donné par la compagnie, elle n’appartient pas aux Navajos – NdT) gérée par le Salt River Project et située [sur la réserve de] la Nation Navajo en Arizona.

L. Benally s’est jointe aux étudiants en études ethniques rassemblés pour protester contre le District Scolaire Unifié de Tucson et contre l’état d’Arizona en janvier, et s’est exprimée Jeudi sur les ondes de la First Voices Indigenous Radio, WBAI New York, qui émet dans tous les Etats-Unis

L. Benally a déclaré que malgré les luttes, les Navajos vivant sur leur terre vivent toujours en harmonie avec elle. Décrivant les herbes naturelles et les cérémonies de guérison issues de la nature sauvage, elle a signalé qu’elles étaient maintenant en train d’être contaminées par la pollution.

« Çà cause beaucoup de destruction, » dit-elle, ajoutant que les déchets chimiques se déposaient dans l’eau et l’environnement.

« Ce sont des problèmes réels auxquels nous devons faire face maintenant, car beaucoup de végétation est en voie de disparition. » Elle dit aussi que la mine de Peabody rejette des polluants dans les réserves d’eau de la région de Black Mesa.

« C’est accablant. »

L. Benally a ensuite décrit les trois centrales au charbon situées sur le territoire de la Nation Navajo. Il y a les deux de la région des Four Corners, près de Farmington, au Nouveau Mexique, qui causent une brume grise persistante sur toute la région. Et il y a la Centrale Navajo, près de Page, Arizona, gérée par le Salt River Project, qui produit une forte contamination de la région de Black Mesa, près de la frontière entre l’Arizona et l’Utah. Ces centrales au charbon transportent de l’électricité vers des villes comme Phoenix et Tucson, alors que les Navajos souffrent de maladies et de la pollution. Pour pouvoir effectuer le transport, la nappe aquifère des Navajos sur Black Mesa est drainée et ses sources s’assèchent.

« Nous ne pouvons pas continuer à produire toujours, toujours plus de pollution, » dit L. Benally, ajoutant que ces centrales au charbon font fondre les glaces de l’Arctic.

L. Benally a vu de ses propres yeux la dévastation de l’Alaska et la fonte des glaces. Elle s’est rendue en Alaska, à l’invitation de villageois autochtones, de chez elle à Big Mountain sur Black Mesa en Arizona, région dévastée par les activités minières de Peabody et la pollution toute proche de la Centrale Navajo. Les ours polaires, les morses et les phoques sont en train de perdre leur habitat naturel dans la région Arctic et meurent, à cause de la pollution provoquée par les centrales à charbon situées sur le sol de la Nation Navajo et ailleurs aux Etats-Unis.

L. Benally décrivit les changements climatiques et comment le développement les avait créés. Elle remarque que si le territoire n’est pas sain, la vie n’est pas saine non plus. Dans la Nation Navajo, cela se traduit par des taux élevés de problèmes respiratoires et de cancers dus à l’exploitation du charbon, aux centrales électriques et à d’autres destructions résultant de contrats passés entre le gouvernement Navajo élu et des compagnies profiteuses comme Peabody Coal et Salt River Project, qui n’accordent aucun intérêt à la santé et au bien-être des Navajos.

Le fait que les Navajos sont visés par le génocide écologique se reflète aussi dans l’interdiction des études ethniques par les écoles publiques de Tucson et l’état d’Arizona.

« C’est vraiment très triste. »

Le présentateur de radio Tiokasin Ghosthorse, un Lakota de Cheyenne River, a raconté comment le plan des politiciens et juristes d’Arizona et de la firme Peabody Coal était au départ de faire comme si le soi disant conflit pour le territoire se jouait entre les Hopis et les Navajos. Ce plan a empêché les gens de s’y impliquer, car ils avaient été amenés à croire qu’il s’agissait d’un conflit interne entre deux nations indigènes, au lieu de le voir pour ce qu’il était vraiment.

Le soi-disant conflit Navajo-Hopi pour la terre avait en fait été soigneusement organisé pour déporter 14000 Navajos de Black Mesa afin de faire de la place pour l’exploitation minière de Peabody, et çà continue aujourd’hui.

L. Benally dit « Ils ont monté les tribus l’une contre l’autre pour s’emparer des ressources » et a expliqué comment ils s’y étaient pris pour mettre la main sur le charbon et les autres ressources, y compris les eaux de la nappe aquifère souterraine.

D’après L. Benally, la tribu Hopi commence à se rendre compte des dommages causés aux ressources naturelles. Cependant, le gouvernement Navajo élu n’a, d’après elle, toujours pas pris conscience des destructions causées au monde naturel par les mines de charbon et les centrales.

Invitant les Autochtones à faire revivre les vieilles coutumes et à créer des manières de se nourrir durables, elle ajouta, « Nous pouvons encore utiliser la terre comme notre substance réparatrice. »

Tiokasin Ghosthorse conclut son émission en soulignant qu’en ville, les gens n’assument pas la responsabilité de prendre soin de la terre et que c’est donc la responsabilité du gouvernement des Etats-Unis de s’en occuper.

 

Le Tribunal du 9ème Circuit s’est prononcé contre la plainte des défenseurs des Pics San Francisco!

LA COUR DU 9ième  CIRCUIT SE PRONONCE CONTRE ‘SAUVEZ LES PICS’

Les préjugés de la Cour du 9ème Circuit reflétés par les médias racistes d’Arizona

Par Brenda Norrell
Censored News

Original article in English

Jeudi 9 février 2012

Traduction Christine Prat

SAN FRANCISCO – La Cour du 9ème Circuit s’est prononcée contre ‘Sauvez les Pics’, qui luttait pour protéger les Pics sacrés contre le projet de la station de ski Arizona Snowbowl de faire de la neige pour les touristes avec de l’eau d’égout. Les Pics sont sacrés pour 13 Nations Indiennes de la région, et c’est un endroit où les hommes et femmes médecine tiennent des cérémonies et cueillent des plantes médicinales.

La décision de la Cour est apparue orientée, en maintenant la décision d’une cour de district et en employant un langage insultant pour les Amérindiens qui avaient engagé les poursuites pour protéger les Pics sacrés.

La décision de la Cour est particulièrement troublante vu que des jeunes Amérindiens avaient lutté encore et encore pour protéger les Pics sacrés.

Les préjugés de la Cour ont été reflétés par les médias d’Arizona, entre autres AP et le quotidien de Flagstaff, l’Arizona Daily Sun qui ont continué de manifester un racisme et une iniquité systématiques vis-à-vis des Amérindiens. AP et l’Arizona Daily Sun ont pris l’habitude de promouvoir les compagnies profanatrices, tout en refusant de traiter des problèmes Amérindiens.

Les partisans de ‘Sauvez les Pics’ appellent à un boycott d’Arizona Snowbowl, et demandent aux skieurs de faire savoir aux propriétaires de la station qu’ils n’iront plus skier là-bas vu qu’ils manquent de respect aux Amérindiens et profanent une terre sacrée.

L’avocat de ‘Sauvez les Pics’, Howard Shanker a dit « Je crois que c’est un triste jour pour la terre, les gens et notre Justice défaillante. »

« Je pense que la décision est injustifiée quant à la valeur de la plainte et que le commentaire du tribunal reflète une incompréhension totale de la nature de l’affaire et des parties en cause. Nous n’avons pas abusé du système judiciaire » a déclaré Shanker ce jour à Censored News.

« En fait, je n’entreprendrais jamais une action qui constituerait en quoique ce soit un emploi abusif du système judiciaire. Il y a des lois, des règles et une jurisprudence pour assurer que des affaires constituant un grossier abus du système judiciaire ne puissent être prises en compte jusqu’à ce stade. A juste titre, aucune de ces mesures préventives ne s’applique aux faits ou au déroulement de cette affaire.

« Je pense aussi que les préjugés du jury en faveur des défendeurs étaient évidents à l’audience. Dans un contexte plus large, il y a de toute évidence un point faible dans notre système de justice, si, entre autres, un jury peut juger à l’unanimité que le NEPA [National Environmental Policy Act – Loi Nationale sur la Protection de l’Environnement – NdT] ne s’applique pas comme question légale, alors qu’un autre jury décrète à l’unanimité que le NEPA s’appliquait comme question légale – sur la base des mêmes faits et de la même loi. S’il y a un abus grossier du système judiciaire, c’est dans l’inconséquence des décisions du jury.

« Cette affaire concerne une station de ski peu cotée qui essaie d’utiliser 100% d’eau d’égout recyclée pour faire de la neige pour des loisirs. Une chose qui n’a été faite nulle part au monde. La station de ski se propose de mettre des panneaux indiquant que les gens ne doivent pas manger de neige, vu qu’elle est faite d’eau non-potable. Il n’y a pas de normes fédérales pour les eaux d’égout recyclées.

« La Loi sur l’Environnement [EPA] Américaine a cependant confirmé récemment que l’eau recyclée est une des principales sources de diffusion dans l’environnement de perturbateurs endocriniens – des médicaments qui bloquent ou réduisent l’activité hormonale normale.

« Nous savons aussi que beaucoup de produits pharmaceutiques et de produits d’hygiène personnelle (PPCP) ne sont pas bien éliminés par le recyclage de l’eau. Je trouve déconcertant que le gouvernement fédéral, y compris la justice, semble trouver que la compagnie Snowbowl est « trop grande pour échouer », en dépit de la menace potentielle à long terme pour la santé publique et le fait important que cette station de ski est située sur des terres fédérales dont il est bien connu, documents à l’appui, qu’elles sont sacrées pour 13 tribus du Sud-ouest des Etats-Unis.

« Je n’ai pas encore eu le temps de discuter d’une possible tentative de faire réviser la décision avec mes clients » a déclaré Shanker.

www.ShankerLaw.net

 

http://bsnorrell.blogspot.com/2012/02/ninth-circuit-rules-against-save-peaks.html

Appel de Censored News:

La Cour du Neuvième Circuit a insulté les Amérindiens dans sa décision, mais nous savons qui sont les vrais héros. Cette décision révèle l’effondrement total du système de justice, reflété également dans l’effondrement des gouvernements et des médias.

Aux lecteurs de Censored News en Italie, en France, en Allemagne, au Royaume-Uni : BOYCOTTEZ ARIZONA SNOWBOWL. Skieurs, respectez les terres sacrées des Amérindiens sur les Pics San Francisco, au nord de l’Arizona. Faites savoir à Arizona Snowbowl que vous n’irez pas skier là-bas vu qu’ils ne respectent pas la terre et les cérémonies des Amérindiens.