COMMUNIQUÉ DE PRESSE Original in English
23 décembre 2020
Contact pour les médias
Osprey Orielle Lake, Women’s Earth and Climate Action Network (WECAN), 00-1-415-722-2104
(Réseau de Femmes pour l’Action pour la Terre et le Climat)
Traduction Christine Prat (CSIA-Nitassinan)
BAIE DE SAN FRANCISCO, Californie (23 décembre 2020) – La Forêt Nationale de Tongass, en Alaska, connue comme ‘la Forêt Climatique de l’Amérique’, est menacée de destruction, depuis que le Gouvernement Trump a supprimé les protections de la Règle d’exemption de Routes pour la Forêt de Tongass, le 29 octobre 2020. En réaction, une large coalition de communautés Autochtones, d’entreprises et de groupes de protection, a déposé une plainte contre le démantèlement décidé par le Gouvernement Trump.
Justice pour la Terre [Earthjustice] et le Conseil de Défense des Ressources Naturelles ont déposé une plainte devant une Cour fédéral ce jour, au nom de plusieurs Tribus Autochtones d’Alaska, de petites entreprises du sud-est de l’Alaska, et d’organisations de protection. La plainte attaque la décision du Gouvernement Trump de liquider les protections de la Règle d’exemption de Routes pour toute la Forêt Nationale de Tongass et demande à la Cour de réinstaurer la Règle pour le Tongass.
Le Réseau de Femmes pour l’Action pour la Terre et le Climat (WECAN) se joint à la plainte, après des années de mobilisation collective pour protéger le Tongass. Les représentantes du WECAN qui se sont jointes à la plainte incluent des dirigeantes qui vivent dans le Tongass et ont milité pour la protection de leurs terres natales dans la forêt depuis des décennies, et la Directrice Exécutive du WECAN.
Le Tongass se trouve à l’intérieur des territoires traditionnels des peuples Tlingit, Haida et Tsimshian. Protéger la forêt est crucial pour assurer la sécurité alimentaire des communautés Autochtones et pour combattre des siècles de politiques coloniales cherchant à déplacer les peuples Autochtones de leurs terres. En tant que plus grande forêt pluviale tempérée encore intacte au monde, le Tongass héberge plus de 400 espèces de vie sauvage terrestre et marine, et fournit des possibilités économiques à des milliers de résidents.
Alors que l’Alaska connaît un record de chaleur, maintenir intact l’écosystème du Tongass est une solution vitale pour les efforts des Etats-Unis et internationaux pour le climat. Les scientifiques spécialistes du climat s’accordent pour affirmer que les forêts sont vitales pour stabiliser le climat, séquestrer le carbone, et fournir un refuge à des écosystèmes présentant une diversité biologique unique.
Les représentantes du WECAN qui se joignent à la plainte, ont publié les déclarations suivantes :
« La Forêt de Tongass c’est chez moi. C’est le foyer des Nations Autochtones anciennes Tlingit et Haida. C’est d’où mes ancêtres sont originaires, ma lignée est Autochtone à ce pays, c’est de l’ADN, mon ADN. L’air que nous respirons, l’eau dont nous dépendons, la terre sur laquelle nous vivons, tout est intact. C’est une vie à chérir. C’est un mode de vie qui vaut qu’on se batte pour lui. L’abrogation de la Règle d’exemption de routes ne peut que conduire à la destruction de nos terres natales, et, en conséquence, à la destruction de nos communautés qui dépendent de ce que donne la forêt. C’est une attaque contre nos peuples et le climat. La décision du Gouvernement Trump d’ouvrir le Tongass aux routes, à l’abattage et à l’extraction minière, est un abus sournois de l’autorité du Congrès et la bataille va continuer – nous continuerons à résister pour la défense de nos terres. » Kashudoha Wanda Loescher Culp, Tlingit, activiste et Coordinatrice pour le Tongass du WECAN.
« Je m’appelle Rebekah Sawers, Je suis Yupik et je vis à Hoonah, Alaska. Le processus d’abrogation de la Règle d’exemption de Routes a été englué dans des intérêts de grandes corporations, qui ne représentent pas le public mais cherche seulement à exploiter le territoire et à ouvrir la forêt pour promouvoir les intérêts de l’abattage et des mines. Je ne parle pas seulement au nom de ma fille Tlingit, mais pour tous les autres frères, sœurs, grands-pères et grand-mères qui vivent dans le Tongass et veulent que la Règle d’exemption de Routes reste en effet. Jusqu’à octobre, la Règle avait été en vigueur depuis près de deux décennies, protégeant les arbres d’abattage massif, soutenant le développement d’entreprises locales, assurant à la communauté l’accès aux aliments et médicaments traditionnels, et permettant à la forêt de guérir. Il est important que cette terre reste sauvage et libre. » Rebekah Sawers, Yupik, étudiante, Représentante du WECAN pour le Tongass.
« Je suis une Autochtone de la Nation Tlingit, du L’uknaxh.ádi, le Clan Coho du Saumon, du sous-groupe du Corbeau de la Maison de la Grenouille. Je suis profondément enracinée dans cette terre depuis des milliers de générations, comme servante de ce territoire. Nos Anciens disent que nous sommes ici depuis des temps immémoriaux, et je suis les pas de mes ancêtres. Dans le Tongass, il y a une innombrable population de poissons et de gibier, et des occasions incomparables de loisirs et de d’entreprise. La pêche et le tourisme sont des industries qui représentent des milliards de dollars, sur lesquels sont fondées les économies du sud-est de l’Alaska. Maintenant, avec l’abrogation de la Règle d’exemption de Routes par le Gouvernement Trump, ces entreprises, qui se développent, seront affectées, et nos droits culturels et Autochtones de protéger Haa Aani, Nos Terres Natales, seront impactés négativement. Je suis une forte femme Tlingit, qui résiste avec le Tongass, qui parle pour les Aas Kwaani, le Peuple des Arbres, et je continuerai à combattre pour le Tongass, en dépit de la décision du Gouvernement de se ranger aux côtés de l’industrie, par-dessus les gens. C’est notre mode de vie de combattre pour nos droits Autochtones en tant qu’êtres humains qui vivent selon la forêt et la marée, les Tlingit. » Kari Ames, Tlingit, gardienne des modes de vie traditionnels, Représentante du WECAN pour le Tongass.
« La décision du Gouvernement Trump d’ouvrir le Tongass pour avantager l’abattage à l’échelle industrielle et le développement, va accélérer la crise climatique et perpétuer les politiques de génocide, en frappant les moyens de subsistance, les pratiques culturelles et la souveraineté des communautés Autochtones vivant dans leurs terres forestières traditionnelles. Maintes et maintes fois, nous avons constaté l’immense soutien du public pour la Règle d’exemption de Routes et la protection du Tongass et des forêts nationales, et pourtant, le Gouvernement a montré clairement qu’il n’agit pas pour les gens, mais pour les intérêts des grandes corporations. Il est vital que nous résistions ensemble, avec les protecteurs des forêts Autochtones, et que nous assurions un climat et une planète vivables pour les générations futures. » Osprey Orielle Lake, Directrice Exécutive, Réseau de Femmes pour l’Action pour la Terre et le Climat (WECAN)
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The Women’s Earth and Climate Action Network (WECAN) International
www.wecaninternational.org – @WECAN_INTL
Le Réseau de Femmes pour l’Action pour la Terre et le Climat (WECAN) International, est une organisation 501(c)3 fondée sur des solutions, établie pour engager des femmes du monde entier à se mobiliser politiquement, pour des projets sur le terrain, l’action directe, et la construction d’un mouvement pour la justice climatique globale.
L’ACCAPAREMENT D’UNE TERRE SACRÉE APACHE PAR DES EXTRACTIVISTES ÉTRANGERS BRUSQUEMENT STOPPÉ
L’AGENCE DE PRÉSERVATION HISTORIQUE DES ETATS-UNIS TROUVE QUE LE SERVICE DES FORÊTS A VIOLÉ LES DROITS DES AMÉRINDIENS AU COURS DE LA CRISE AUTOUR DE LA TERRE SACRÉE D’OAK FLAT
L’Accaparement notoire de terre par Rio Tinto et BHP doit être annulé
Les Etats-Unis doivent mettre un terme aux Violations de la Liberté Religieuse et des Droits de l’Homme des Amérindiens
Dr. Wendsler Nosie Sr., du Bastion Apache, apaches4ss@yahoo.com
Michael V. Nixon, J.D., michaelvnixon@yahoo.com
17 décembre 2020
Publié par Censored News
le 22 décembre 2020
Traduction Christine Prat
OAK FLAT, Terre Sacrée Apache – A la veille du sixième anniversaire du passage au Congrès de la fameuse clause additionnelle fourrée dans le projet de budget de la Défense à la dernière heure, pour les intérêts d’une firme étrangère, le Service des Forêts des Etats-Unis a été forcé d’interrompre ses efforts pour imposer l’accaparement de la terre d’Oak Flat.
La clause additionnelle de décembre 2014 à la Loi d’Autorisation du budget de la Défense Nationale de 2015, mettait en place les raccourcis légaux pour permettre la mainmise de la compagnie Anglo-Australienne sur une terre sacrée Amérindienne qui serait totalement détruite par l’énorme mine de cuivre qui devait y être imposée.
Mardi 15 décembre 2020, le Président du Conseil Consultatif pour la Préservation Historique (ACHP) a répondu à la requête de la Tribu Apache de San Carlos et publié un rapport formel de ses cinq mois d’enquête sur la façon dont le Service des Forêts avait mené le processus légal exigé par la Section 106 de la Loi Nationale sur la Préservation Historique (NHPA).
La Section 106 de la NHPA exige que les agences fédérales évitent et minimisent tous effets dommageables à la propriété historique, et modèrent les effets nocifs inévitables dans leur prise en considération de toute approbation de projets, tels que celui de la mine de cuivre.
En réponse au rapport du ACHP, le Dr. Wendsler Nosie Sr., ex-Président de la Tribu Apache de San Carlos, et porte-parole de l’organisation à but non-lucratif le Bastion Apache, a déclaré :
« Et bien, je suis heureux de cette nouvelle, mais nous n’aurions jamais dû aller si près de perdre un site religieux et sacré, une base environnementale unique, de l’eau pour maintenir toute vie, et la protection de l’intérêt de toute l’Amérique. Si seulement les dirigeants des Etats-Unis et de la Forêt Nationale de Tonto avaient suivi les lois, nous n’aurions pas été envahis par ces compagnies minières étrangères.
« Je prie pour que cette action soit prolongée pour rouvrir la décision destructrice du Congrès, qui a donné aux extracteurs de cuivre étrangers des exemptions des lois fédérales, décision qui a été amplifiée par la rapacité, l’argent et le pouvoir. Nous continuerons à prier pour qu’un miracle sauve Oak Flat et l’empêche d’être tué. Nous devons nous souvenir que nos enfants encore à naître ont le droit de vivre comme nous. Les amener dans un monde de pollution, de destruction et d’un Congrès qui a la possibilité de manipuler les lois n’est pas juste. »
La Tribu et le Bastion Apache ont été soutenus dans cette démarche auprès de l’ACHP par des groupe régionaux et nationaux et des professionnels de la préservation culturelle comme Archaeology Southwest, basée à Tucson, Arizona.
Le Conseil Consultatif pour la Préservation Historique (ACHP) a envoyé une lettre datée du 15 décembre 2020 à Tom Torres, Superviseur Suppléant de la Forêt Nationale de Tonto, soulignant les incohérences de leur processus de développement d’un Accord Programmatique, en contradiction avec certaines exigences de la Section 106. Le Conseil Consultatif reproche essentiellement à la Forêt Nationale de Tonto d’avoir mal communiqué à propos des buts et de l’assistance des réunions de consultation, certaines réunissant seulement les signataires, d’autres, prévues pour un large public, limitées aux parties consultantes – , de n’avoir pas suffisamment consulté les Tribus Indiennes sur les effets néfastes du projet de mine, sur des propriétés historiques d’importance religieuse et culturelle pour les tribus (alors que c’est une exigence essentielle de la Section 106). [On peut voir la lettre en Anglais sur Censored News].
Il faudra encore plusieurs mois pour que les conditions de la Section 106 de la Loi Nationale sur la Propriété Historique soient remplies. L’accaparement de terre est poussé par la fameuse compagnie minière Rio Tinto, par l’intermédiaire de son entreprise commune, en Arizona, avec la compagnie minière BHP. La terre en danger inclut la propriété culturelle traditionnelle et le site sacré Apaches, Chi’chil Bildagoteel (« Oak Flat » en Apache), qui est aussi, pour les Etats-Unis, un Site Historique National, placé sur le Registre National des Lieux Historiques du Département de l’Intérieur.
Rio Tinto, propriétaire majoritaire de l’entreprise commune avec le géant minier BHP, a eu des problèmes sérieux à cause de sa destruction volontaire du site ancien et sacré Aborigène des Gorges de Juukan, dans l’ouest de l’Australie.
Par la suite, M. Thompson, PDG de Rio Tinto, a déclaré : « Ce qui s’est passé à Juukan est injustifiable. Nous sommes déterminés à assurer que la destruction d’un site archéologique et culturel d’une importance si exceptionnelle ne se reproduise jamais au cours d’une opération de Rio Tinto. »
L’avocat du Bastion Apache, Michael V. Nixon, a noté:
« C’est un rapport officiel bienvenu, puissant et présenté élégamment de l’ACHP sur son enquête. Il souligne la non-conformité chronique du Service des Forêts, ses distorsions des règles de la Loi Nationale sur la Propriété Historique, et son habitude de fouler aux pieds la liberté religieuse des Autochtones, et conseille au Service des Forêts d’être plus clair.
« Nous verrons si le Service des Forêts, et les cadres et les investisseurs de Rio Tinto-BHP, changent leurs attitudes et leur conduite. Le monde verra aussi si la promesse du Président de Rio Tinto, Simon Thompson, de ne jamais faire une telle chose que la mine d’Oak Flat était vraie ou non. »
Et le Congrès pourrait corriger sa terrible faute de faciliter la destruction de ce site sacré Amérindien et d’entraver la liberté religieuse des Autochtones et des Apaches à Oak Flat. Le projet de « Loi Sauver Oak Flat » a été introduit au Congrès par le Représentant Raul Grijalva (Démocrate, Arizona) (H.R. 665) et le Sénateur Bernie Sanders (Démocrate, Vermont) (S.173).
La membre du Bastion Apache Naelyn Pike a demandé au Congrès et à tous les Américains de protéger la liberté religieuse des Autochtones et des Apaches à Oak Flat :
« La lutte pour protéger Oak Flat est une bataille pour le Mode de Vie Apache et notre religion. L’Échange de Terres dans le Sud, passé en 2015, est un acte de génocide de plus du Congrès envers les Autochtones. Il est grand temps que ces horribles cercles soient brisés pour notre futur et pour ceux encore à naître. Les gens de ce pays doivent cesser d’être de simples spectateurs pour qu’un changement puisse se produire. Il est temps d’agir, maintenant, car toutes les créations de Dieu/Usen sont menacées. »
Le Bastion Apache (Apache Stronghold) :
Le Bastion Apache est une communauté à but non-lucratif 501(c)3 d’individus qui se sont unis pour combattre la colonisation perpétuelle, défendre les Sites Sacrés et la liberté religieuse, et se dévouent pour construire une meilleure communauté par des programmes de voisinage et un engagement civique. Basé à San Carlos, Arizona, le Bastion Apache relie des Apaches et d’autres Autochtones et des alliés non-Autochtones dans le monde entier. Chi’chil Bildagoteel (aussi connu sous le nom d’Oak Flat) est un site sacré historique pour nos Apaches et beaucoup d’autre Autochtones d’Amérique – un lieu de prière, où on puise de l’eau et récolte des plantes médicinales pour des cérémonies, et où on récolte des glands et d’autres aliments, et où on rend un hommage cérémoniel aux Apaches et autres Autochtones qui y sont enterrés.
http://apache-stronghold.com/about-us.html
Instagram : @protectoakflat
Twitter : @SaveOakFlat
Cet article n’est ni complotiste, ni hostile aux développements scientifiques. Il pose des questions auxquelles il n’y a jamais eu de réponses. Le vaccin Pfizer-BioNTech a été testé sur des Navajos pendant la phase expérimentale. L’expérience a été organisée par l’Université John Hopkins, qui a fait des ‘expériences’ sur les Navajos et les Apaches depuis au moins 40 ans. En ce qui concerne les tests du vaccin Pfizer, il s’agissait de gens particulièrement fragiles – malnutrition, diabète, maladies respiratoires dues à la pollution extrême, etc. L’Université John Hopkins n’a jamais répondu aux questions posées sur les résultats – des participants ont-ils été plus malades ? Y a-t-il eu des décès ? Y a-t-il eu des effets secondaires ?
Autres questions : Pourquoi le Gouvernement Navajo n’a-t-il jamais utilisé l’argent fourni par la loi fédérale CARES pour aider les malades ? [Rappel : les ‘Gouvernements’ et les ‘Conseils’ Tribaux ont été imposés par le gouvernement fédéral, qui ne reconnaissait pas les dirigeants traditionnels – quelquefois des femmes ! – pour discuter]. La seule aide fournie aux malades et aux personnes âgées de la Réserve vient de dons récoltés par des bénévoles extrêmement dévoués.
Christine Prat
Les Navajos et les Lakotas sont contaminés et décèdent du coronavirus à un taux inquiétant. Quelque chose ne va vraiment pas.
Brenda Norrell
Censored News
10 décembre 2020
Traduction Christine Prat
Un hélicoptère du Ministère de l’Énergie des Etats-Unis, volait au-dessus de la Nation Navajo, aujourd’hui. Censored News a repéré l’hélicoptère au-dessus de Kayenta, Red Mesa et Mexican Water. Il était parti de Farmington, au Nouveau-Mexique, et s’est posé à Page, en Arizona.
Au cours de la semaine passée, trois gros avions, leurs indicatifs « bloqués », se sont posés à Page, venant de Farmington, Mesa et Salt Lake. Les indicatifs « bloqués » sont le plus souvent utilisés pour les avions militaires et du gouvernement des Etats-Unis.
Quelque chose ne va vraiment pas.
La manière dont le coronavirus s’est disséminé chez les Diné et les Lakota éveille des soupçons. Des Anciens Diné et Lakota sont contaminés et meurent à un taux alarmant. Au cours des neuf derniers mois, 693 Navajos sont décédés du virus. Maintenant, les deux Dakotas ont le taux de dissémination le plus élevé du monde.
Aujourd’hui, la Grande-Bretagne a prévenu les personnes ayant une histoire de réactions allergiques de ne pas recevoir le vaccin de Pfizer.
Selon Reuters, « Le régulateur médical britannique a dit que quiconque avait une histoire d’anaphylaxie pour un médicament ou de la nourriture, ne devrait pas recevoir le vaccin COVID-19 de Pfizer-BioNTech, et a donné des instructions plus complètes que de précédentes mises en garde sur la vaccination. »
Le vaccin Pfizer-BioNTech est celui qui a été utilisé dans des expériences sur des Navajos. Les expériences ont été réalisées par des chercheurs de l’Université John Hopkins utilisant des hôpitaux du Service de Santé Indien, dans la Nation Navajo et à Gallup, au Nouveau-Mexique.
L’hélicoptère et les avions au-dessus du pays Navajo ont conduit Censored News à poser beaucoup de questions.
Pourquoi un journaliste non-Indien du Navajo Times a-t-il insisté pour que des Navajos prennent part aux expériences du vaccin Pfizer-BioNTech ? L’expérimentation de vaccins sur des populations à haut risque et avec de multiples problèmes de santé est très dangereuse.
Le fait est que l’Université John Hopkins et les firmes pharmaceutiques en bénéficient financièrement et les firmes qui fabriquent le vaccin sont en train de devenir milliardaires.
Et pourquoi le Pentagon a-t-il financé l’expérimentation de plasma de malades du coronavirus sur des Navajos, par l’université John Hopkins ? Pourquoi le Pentagon [la Défense] ? Pourquoi pas un service de santé ?
Pourquoi le Président Navajo distribue-t-il de la nourriture obtenue par dons – alors que 300 millions de dollars de la loi CARES [loi fédérale d’aide aux victimes du coronavirus] n’ont jamais été dépensés ? Pourquoi des associations charitables prennent-elles part à ces démonstrations spectaculaires accessoires ?
Pourquoi, après que tant de Diné soient décédés, n’y a-t-il toujours pas de distributions uniformes de nourriture, d’eau et de soins médicaux chez les malades et les mourants des 110 chapitres [divisions administratives] Navajo ?
Pourquoi n’y a-t-il pas de livraisons à domicile de produits frais et d’eau vitale ? Pourquoi n’y a-t-il pas de visites à domiciles d’infirmières chez les malades et les mourants, des visites à domicile du type qu’on trouve dans tout le pays ?
Ceux qui sont malades et mourants ont besoin de produits frais et d’eau potable chaque semaine, pas de rations fournies par des dons, distribuées au hasard tous les un ou deux mois.
Les gens qui sont trop malades pour s’occuper d’eux-mêmes ont besoin de visites régulières de soignants. Beaucoup de Diné sont renvoyé chez eux par les hôpitaux, alors qu’ils sont trop malades pour se débrouiller seuls. Beaucoup de personnes âgées et de familles en difficulté sont isolées et n’ont pas de moyen de transport.
On ne sait pas combien de Diné ont été envoyés par des hôpitaux dans des maisons de retraite, sachant qu’ils ne pouvaient pas survivre.
Les Diné, comme tout le monde, méritent de mourir dans la dignité.
Il y a plus de 300 000 Diné, dans 110 chapitres, en Arizona, au Nouveau-Mexique et en Utah, dans la Nation Navajo. [La Réserve Navajo se divisent entre l’Arizona et le Nouveau-Mexique, et pour une toute petite partie, en Utah].
Les Diné ont particulièrement souffert au Nouveau-Mexique, où les sièges de chapitres ont été fermés ou ouverts à des horaires limités, pendant la pandémie. Ils ont beaucoup souffert dans les zones éloignées de la Montagne Navajo, en Utah et dans la Réserve Navajo. Cependant, le plus grand nombre de cas se trouve dans la région de Chinle, au cœur de la Nation Navajo.
Au moins 77 des 110 chapitres Navajo ont actuellement une dissémination incontrôlée du coronavirus.
Dans la presse :
Le coronavirus se répand dans les WalMarts, les épiceries et les écoles. Le virus a atteint les eaux usées des Dene, dans le grand nord
Les hypermarchés WalMart sont des Super Diffuseurs du Coronavirus – le Nouveau-Mexique publie chaque jour une liste des nouveaux ‘clusters’ dans les écoles, les épiceries et les entreprises. Au cours des dernières semaines, les WalMart ont été des super-diffuseurs du coronavirus au Nouveau-Mexique. Il y a des nouveaux clusters dans les écoles des communautés et épiceries Autochtones, et dans les ‘fast-food’ des villes autour des Réserves.
Voir le site officiel des autorités du Nouveau-Mexique https://www.env.nm.gov/rapid-response-data/
Colorado – Plus de 5000 étudiants dans le Colorado, ont le coronavirus, ainsi que plus de 500 professeurs. Dissémination constatée dans les WalMart, Target, King Sooper, Colstco et autres grandes surfaces de l’épicerie et entreprises. Des milliers de prisonniers dans les prisons du Colorado sont contaminés. Beaucoup d’états cachent les faits, mais le Colorado et le Nouveau-Mexique informent le public. https://www.9news.com/article/news/health/coronavirus/colorado-covid-outbreaks-grocery-stores-restaurants-prison/
Le coronavirus a été trouvé dans des eaux usées jusque dans le nord, dans la communauté Autochtone Dene de Yellowknife. https://www.cbc.ca/news/canada/north/covid-19-detected-in-wastewater-in-yellowknife-1.5834486